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 Le célèbre rhum fait son retour

 

En 1869, les deux frères Ernest et Maurice Lasserre décident de lancer une marque de rhum Moko. Issus d’une sélection en provenance de la Martinique et de la Jamaïque, ces rhums, importés à Bordeaux puis distribués dans toute la France, rencontrent un beau succès. Cependant les années 60 sonneront la fin de la production pour des raison économiques.

Moko rum gamme

© Moko Rum

En 2017, la famille Peyrat, descendante d’Ernest Lasserre et reconnue pour ses cognacs, décide de relancer la production. Pour écrire ce nouveau chapitre, trois rhums différents ont été développés : le 8 ans, le 15 ans et le 20 ans d’âge.

Moko rum produits

© Moko Rum

Dans un premier temps la récolte de canne à sucre se passe durant la période sèche car le taux de sucre est alors le plus élevé. Les rhums, de tradition panaméenne, sont issus de la mélasse (résidu de la fabrication du sucre) et sont distillés dans un alambic à colonne : le jus est introduit par le haut de la colonne de l’alambic chauffé puis il descend de plateau en plateau en chauffant au contact de la vapeur introduite par le bas de la colonne. Suivant cette distillation, les rhums vieillissent sur place dans des fûts du Kentucky, ayant préalablement servi à faire vieillir du Bourbon, pendant plusieurs années. Arrivés à maturité ils sont importés en France à leur degré naturel (c’est à dire sans dilution préalable), cela permettant de préserver la richesse des arômes. Ils sont finalement affinés au moins 6 mois dans des fûts ayant abrité du cognac, et ce afin de leur donner encore plus de rondeur en bouche et d’élégance.

 

Vous pourrez retrouver la Maison Peyrat au Rhum Fest et ainsi déguster le rhum Moko

 

Merci à Clémence de nous avoir conté l’histoire de ce rhum familial.